10 bonnes résolutions pour 2015

Au moment des grandes décisions, pensez aussi à votre ami et son bien-être pour l’année à venir !
Régime, entretien, activités… Docteur vétérinaire et journaliste, Laetitia Barlerin nous livre 10 excellentes idées de bonnes résolutions à prendre en 2015 pour le bien-être de votre chien ou votre chat :
1. Je le fais maigrir
S’il fait partie des 9 millions de chiens et de chats français en surpoids. J’arrête tous les encas et, si ce n’est pas suffisant, j’en parle à son vétérinaire qui prescrira un régime anti-kilos mais pas anti-plaisir.
2. J’inscris mon chien à un club d’agility
Car c’est un sport éducatif, ludique, accessible à tous et bon pour sa santé physique et mentale. Je peux opter aussi pour le canicross (courir tracté par son chien), le frisbee, le doggy dancing (danser avec son chien)…
3. Je m’occupe de son pelage
Au moment de la mue saisonnière, je lui donne pendant 1 mois de la levure de bière ou –mieux – un complément alimentaire pour le pelage.
4. J’offre un aquarium à mon chat
Car le mouvement incessant des poissons et des bulles le captive pendant des heures tel un programme télé favori.
5. Je prévois à l’avance ses vacances
S’il ne part pas avec moi, je teste un week-end la pension ou la famille d’accueil pressenties. S’il m’accompagne, je m’informe au moment de la réservation des formalités le concernant (papiers et vaccins obligatoires, animaux acceptés au non, plages autorisées…).
6. J’arrête de fumer
Car le tabagisme passif multiplie par deux les risques de cancer chez le chat et le chien.
7. Je me décide à le faire détartrer
Car l’haleine fétide, ce n’est plus possible et, à trop attendre, ses dents vont tomber et, pire, les bactéries attaqueront ses reins et son cœur.
8. Je le vermifuge 3 à 4 fois par an
Pour sa santé, la mienne et celle de mes enfants. Je n’attends pas de voir des vers dans ses selles et j’arrête de croire qu’il se purge en mangeant de l’herbe.
9. Je lui fais des massages
Car ils libèrent les tensions et stimulent la production d’endorphines, les hormones du plaisir. Caresses légères puis plus appuyées, mouvements linéaires puis circulaires. Je me sers d’une brosse en caoutchouc aux vertus « massantes ».
10. Je ne culpabilise plus à l’idée de le laisser seul
Car je me dis qu’il profite de mon absence pour… dormir ! Je peux aussi engager un dog(cat)-sitter, lui programmer des documentaires animaliers, un DVD pour chiens (Dogllywood®) ou placer dans la maison un diffuseur de phéromones apaisantes (Feliway®, DAP®, chez le vétérinaire).

miss_veto_signature(7)

Sources : Wamiz.com

La litière de copeaux : un danger pour les NACs ?

Hamsters, souris, lapins… Chez la plus grande partie des propriétaires de NACs, les copeaux de bois sont l’ingrédient principal d’une litière efficace et économique. Et pourtant, il s’agit là d’un choix dangereux pour nos petites boules de poils !

Pourquoi ce succès ? Principalement fabriqués à base de cèdres ou de pins, les copeaux de bois représentent un bon rapport qualité prix pour les litières des NACs. En plus de repousser naturellement les quelques insectes qui pourraient s’aventurer par là, les copeaux masquent les odeurs désagréables pouvant émaner des petits besoins de vos animaux.

Une litière économique… mais nocive

Mais ces copeaux qui limitent les mauvaises odeurs dégagent des composants chimiques, dont le phénol. C’est ce dernier qui repousse (ou même tue) les insectes s’approchant de trop près et il est connu pour être nocifs pour de nombreux mammifères. Or, dans les litières de copeaux, cette substance là se retrouve quotidiennement sous le nez de vos boules de poils.

Le phénol, à long terme, aurait donc des conséquences plus ou moins grave chez une grande partie des NACs ayant une litière de copeaux. Problèmes respiratoires, allergies, irritations… Il serait même à l’origine de certains cancers. De plus, même si votre petit animal ne développe aucune maladie à cause des copeaux, son système immunitaire lutte continuellement contre les agressions du phénol, ce qui pourrait raccourcir sa durée de vie.

Les autres litières à éviter

S’il semblerait donc qu’il soit crucial d’éviter les litières à base de copeaux de pins ou de cèdre, il existe néanmoins de nombreuses alternative. Mais là encore, attention à ne pas rechercher la facilité ou à économiser à tout prix ! Certaines sont vraiment peu recommandables.

La litière dite agglomérante par exemple est aussi à bannir, de même que les litières minérales pour chats (risques d’occlusion intestinale). Dans la mesure du possible, il est également recommandé d’éviter les litières de paille ou de maïs, qui ont tendance à moisir (tout en étant très peu absorbantes), ou d’utiliser du papier journal, car l’encre utilisée pour les impressions est toxique.

Les meilleures alternatives

Le chanvre est une solution très réputée : il filtre particulièrement bien les liquides, et sa surface reste donc sèche assez longtemps. De plus, si le chanvre se présente également sous forme de copeaux, ces derniers sont lourds (donc ne volent pas) et non toxiques. Autre solution, la litière végétale pour chat (attention, la choisir non agglomérante), absorbe également les liquides et les mauvaises odeurs.

Enfin, il existe une solution à la fois économique et pratique, qui rencontre beaucoup de succès aux États-Unis. Il s’agit d’aménager une litière de tissus pour votre NAC. Le tissu en question doit être très absorbant, et organisé de façon à ce que sa surface soit sèche pendant que les liquides sont écoulés vers les couches inférieures de la litière. Les DryBed, en particulier, séduisent beaucoup d’amateurs de cochons d’Inde pour sa capacité à isoler l’animal des liquides.

 

Par Charlotte Grenier

Source de l’article : wamiz.com

Mon chien tire en laisse, pourquoi et que faire ?

C’est un problème auquel bien des maîtres doivent un jour ou l’autre faire face pendant les balades quotidiennes : le chien tire en laisse, et le plaisir de la promenade s’en trouve très vite gâché.

Alors quelle méthode adopter ? Qu’est ce qui pousse le chien à tirer son maître ? Jean-Luc Fourtier, éducateur canin et auteur du blog Eduquersonchien.com, nous livre quelques conseils pour mieux gérer la situation :

Il tire, il tire le chien… En balade, il n’y a pas que les grandes races qui ont l’habitude de tirer en laisse. Le problème avec un chien qui tire est que ce comportement est tellement pénible et épuisant que les maîtres finissent par diminuer la fréquence des balades.

Pourquoi le chien tire en laisse ?

Jusqu’à preuve du contraire les chiens ont toujours marché plus vite que les humains sauf à quelques exceptions près.

Par ailleurs certains propriétaires sont convaincus que le meilleur ami de l’homme se conduit ainsi pour prendre la place de chef ou dominant. Malheureusement ce vieux mythe dépassé est avant tout une fausse croyance.

Le chien est un animal social, donc il est incapable de dominer son maître car la dominance inter-spécifique (entre espèces différentes) n’existe pas et aucune étude scientifique n’a prouvé son existence.

La vérité est qu’en promenade le chien aime naturellement explorer, renifler…des odeurs ce qui l’entraînent très souvent à tirer en laisse et à embarquer son maître dans la foulée. N’oublions pas que le chien a un but, c’est d’accéder rapidement à ce qui lui semble être intéressant. C’est l’une des raisons pour lesquelles il reproduit ce comportement.

Autre cas possible à ne surtout pas ignorer : des balades peu fréquentes peuvent engendrer chez le chien un état d’excitation, c’est pourquoi il est important pour son bien être de respecter les sorties afin de canaliser son énergie.

Vous l’aurez bien compris, le chien n’agit pas dans le but de tester l’autorité du maître, en revanche c’est plutôt l’humain qui apprend et renforce inconsciemment à son compagnon cette mauvaise conduite. Pourquoi ? Quand le chien tire en laisse, le maître encourage souvent ce vilain comportement sans même le savoir, en donnant une saccade sèche ou pire en laissant faire le chien et en se laissant entraîner.

Que faire pour que le chien arrête de tirer en laisse ?

Apprendre à son chien à ne pas tirer en laisse fait partie d’un processus global de bonnes manières. Vous devez lui inculquer de façon positive ce principe de base le plus tôt possible c’est-à-dire dès l’arrivée de votre chien à la maison. N’attendez pas qu’il soit adulte pour lui enseigner.

Il y a plusieurs possibilités pour gérer un chien qui tire en laisse, bonnes comme mauvaises mais ici nous allons nous attarder sur une méthode censée et qui a fait ces preuves.

La première étape consiste à faire comprendre au chien que TIRER = IMMOBILISATION ou ARRÊT. Commencez à marcher avec votre chien en laisse de façon naturelle, dès que votre chien commence à tirer sur la laisse, immobilisez vous systématiquement.

Attendez que votre chien ait le réflexe de détendre la laisse en revenant vers vous, puis récompensez-le avec une friandise et repartez.

L’idée de cette méthode est de lui apprendre les bonnes manières, ainsi avec les répétitions le chien comprendra vite que TIRER = ARRÊT systématique.

Ce processus d’apprentissage doit être répété quotidiennement, sans oublier de récompenser son chien avec un renforçateur appétissant.

 

Jean-Luc Fourtier
Educateur canin
www.eduquersonchien.com

Source de l’article : wamiz.com

 

De bonnes résolutions pour votre chien

Début d’année rime toujours (ou presque) avec bonnes résolutions. Et si les humains en prennent souvent tout un paquet, les heureux propriétaires de chiens ne doivent pas hésiter à en prendre aussi pour leur fidèle compagnons à 4 pattes.

Plus d’exercice et de câlins, moins de friandises et de bêtises : les idées ne manquent pas ! Et voici les nôtres :

Un alimentation équilibrée

Votre toutou a comme vous fait quelques excès pendant les fêtes ? Profitez de ce début d’année pour reprendre de bonnes habitudes.

Les repas doivent être réguliers, ritualisés et équilibrés. Si vous n’avez pas pu résister à l’envie de faire goûter à votre chien vos délicieux mets de fêtes, c’est maintenant terminé ! Les restes de vos repas n’ont rien à faire dans la gamelle de votre chien. Quant aux friandises, elles doivent rester exceptionnelles.

De l’exercice

L’hiver est loin d’être fini, mais ce n’est pas une raison pour laisser votre chien devenir une carpette ! Qu’il neige ou qu’il vente, votre toutou a besoin de se dépenser. Vous pouvez réduire un peu le temps des balades s’il fait vraiment très froid et mauvais, et dans ce cas compenser en augmentant leur nombre. N’hésitez pas aussi à multiplier les jeux en intérieur, pour que même à la maison, votre toutou puisse faire de l’exercice.

Et si vous vous mettiez à faire de nouvelles activités avec votre compagnon à 4 pattes cette année ? Agility, cani-cross, frisbee, Dog dancing… : les sports canins ne cessent de se développer, vous trouverez certainement celui qui vous correspond le mieux, à vous et votre poilu.

Du temps pour lui

Plus vous lui accorderez de temps et d’attention, plus votre chien sera heureux. Sans pour autant faire de lui un toutou trop dépendant de ses maîtres (vous risquerez de provoquer des problèmes d’anxiété de séparation), ne lésinez pas sur les jeux, balades, câlins et autres petits plaisirs qui ne font que renforcer votre relation avec votre ou vos loulous.

Un chien en pleine santé

Votre toutou n’a, pour son plus grand bonheur, pas visité le cabinet du vétérinaire depuis un moment ? Et si vous commenciez bien l’année en l’emmenant faire un petit check-up, histoire de vous assurer que tout va bien ?

Profitez en pour lui faire détartrer les dents ! Une infection est vite arrivée, mieux vaut donc se montrer prévoyant.

Et bien éduqué !

Votre chien fait des bêtises, ne répond pas bien à vos ordres ? Et si vous repreniez cette année son éducation ? Un chien bien éduqué est un chien plus heureux, si son apprentissage se passe dans de bonnes conditions.

Privilégiez des méthodes positives, en récompensant votre chien lorsqu’il agit bien plutôt qu’en le punissant quand il agit mal !

Avez vous pris de bonnes résolutions pour vos animaux ? Dites-nous lesquelles !

Par Sophie Le Roux

Source : www.wamiz.com

Les 7 règles de l’alimentation du chien

Voici 7 conseils très simples à suivre pour offrir une alimentation pour chien idéale à votre compagnon à 4 pattes :

1. Eau à volonté

L’animal doit toujours avoir une gamelle pleine d’eau à sa disposition tout au long de la journée.

2. Qualité de l’eau

L’eau doit être renouvelée tous les jours. N’utilisez de l’eau minérale que si l’eau courante est chargée en nitrites dans votre région : cela diminue en effet la fertilité.

3. Heure des repas

Le repas est donné à heure fixe, de préférence le soir. Un repas par jour, à l’âge adulte, suffit pour la majorité des races, sauf en cas de risque de torsion d’estomac : pour réduire ce risque, le repas doit être donné en deux fois.
Les deux repas sont de même quantité et donnés longtemps après les balades, sorties ou tout effort physique. De même pour une saillie, ne jamais donner à manger avant, mais 2 heures après.

4. Éviter les changements

Il ne faut pas changer brusquement le régime alimentaire d’un chien, cela entraîne des diarrhées. Tout changement doit être amené en douceur sur 10 jours par l’introduction progressive du nouvel aliment dans l’ancienne ration.

5. Couvert personnel

Le chien doit avoir une gamelle à lui et non une de vos assiettes ou celle de bébé.

6. Un chien n’est pas un chat

Ils doivent chacun avoir une nourriture spécifique qui réponde à leurs besoins.

7. Pas de restes

Les restes de vos repas ne sont pas assez équilibrés pour un chien et ne peuvent composer son repas ; votre chien a besoin d’un aliment complet.

Florence Desachy
Docteur vétérinaire comportementaliste, enseignante et directrice d’une collection d’ouvrages animaliers
Source : wamiz.com

Interpréter les attitudes du chat

Le chat exprime son humeur et ses émotions à travers ses attitudes et son comportement.

L’agressivité

Le chat dans une attitude agressive essaie de sembler plus gros qu’il ne l’est vraiment pour susciter la peur et le respect chez son adversaire. Il marche bien droit sur la pointe de ses pattes, la tête basse et, étant donné que ses pattes arrière sont plus longues que les pattes avant, le dos semble légèrement incliné vers la tête.

La queue est basse mais relevée à hauteur des jarrets et le poil se hérisse. Les oreilles sont toutes droites, et orientées vers l’extérieur, les pupilles sont contractées. Les vibrisses sont dirigées vers l’avant et les griffes sont sorties.

La tension défensive

Chat tendu, qui souffle et montre ses dents, comme prêt à se défendre, mais il semble en même temps prêt à battre en retraite et à se coucher pour éviter le conflit.

La peur

Le chat apeuré se blottit, les oreilles aplaties sur sa tête et les pupilles dilatées. Prêt à se rendre et à se soumettre, il se tapit, la queue plaquée le long du corps, ce qui ne lui permet pas d’attaquer mais seulement de se défendre ou de se soumettre en se roulant sur le dos.

La frayeur

Contrairement à l’idée reçue, le chat qui souffle, produit de la salive dans sa bouche puis « crache », le dos courbé, les oreilles aplaties et le poil hérissé (posture appelée aussi « du chat de la sorcière »), exprime autant la peur que l’agressivité, comme le chien peut mordre sous l’effet de la peur.

Dans ce genre de situation, un chat est très impressionnant mais il ne passe à l’acte que si son « périmètre de sécurité » est envahi. Un indice vient trahir les émotions du chat : ses pattes arrière semblent avancer, alors que les pattes avant reculent pour pratiquement toucher les pattes arrière sous le corps.

Le bâillement ou flehmen

En présence de l’odeur d’urine d’autres chats, les chats adultes manifestent un comportement particulier : le bâillement, appelé également flehmen. Après avoir humé puis léché l’urine, ils frappent plusieurs fois avec la pointe de leur langue leur palais, derrière les incisives supérieures ; ils mettent leur tête en arrière et ouvrent la bouche en se léchant le nez.

Cette forme particulière de bâillement ne se vérifie pas chez les chatons âgés de moins de 5 à 7 semaines. Ce comportement sert à transmettre l’odeur de l’urine à l’organe de Jacobson, qui est un organe sensoriel placé entre la bouche et la cavité nasale, au-dessus du palais dur. Les chats utilisent probablement cet organe pour identifier le sexe du sujet ayant uriné.

N. Magno
Psychologue spécialisée dans l’éthologie, éleveuse de Chartreux et auteur d’ouvrages de référence sur le chat
Source : wamiz.com

Légumes et fruits pour cochons d’inde

Encore trop d’amateurs ne donnent des légumes qu’occasionnellement pour les raisons suivantes : c’est trop cher, les vendeurs disent que c’est mauvais pour les cochons d’Inde, et c’est trop contraignant d’aller en acheter régulièrement.

Dans ce cas, il est plus judicieux de ne pas choisir un herbivore comme animal de compagnie ! Ce sont les légumes (avec le foin) qui constituent la majeure partie de l’alimentation du cochon d’Inde.

En tant qu’herbivore strict, il consomme environ un dixième de son poids en végétaux frais chaque jour !

Fruits ou légumes ?

Les légumes remportent généralement plus de succès auprès des cochons d’Inde. Mais certains raffolent des fruits, alors pourquoi les en priver ?

Attention toutefois, car beaucoup de fruits sont acides et risquent de provoquer des problèmes digestifs ou des irritation des lèvres (la pomme surtout). Ne les donnez que bien mûrs, en petite quantité, et pas plus d’une fois par semaine ! Les légumes et fruits préférés

Le cochon d’Inde apprécie beaucoup le concombre, la carotte, le persil, le fenouil, le poivron, le céleri, la laitue, les endives, les épinards… ainsi que la tomate et le poivron (qui bien qu’étant des fruits sont le plus souvent classés dans la catégorie des légumes).

La laitue ne doit être donnée que de loin en loin et en petite quantité, car elle serait gorgée de nitrates. Même consigne pour le persil, qui est toxique à haute dose et qui coupe la montée de lait chez les femelles gestantes et allaitantes, et pour la carotte qui est très riche en sucres (ne donnez jamais une grosse carotte tous les jours).

Trop de concombre – qui contient 95 % d’eau – risque de donner la diarrhée et trop de chou provoque des ballonnements.

En revanche, les fanes de carotte ne sont pas du tout toxiques et sont même très appréciées ! Côté fruits, voici les préférés : banane, cerise, fraise, framboise, kiwi, clémentine, orange, mandarine, tomate, melon, mirabelle, pastèque, pomme, raisin, poire, abricot…

L’idéal est de donner à votre cochon d’Inde une « salade composée » d’au moins deux ou trois végétaux différents, que vous alternerez chaque jour. Si possible, la salade devra comporter au moins un légume riche en vitamine C.

Voici un exemple de menu pour la semaine : – Lundi : épinard et endive- Mardi : fenouil et céleri- Mercredi : persil et carotte- Jeudi : poivron et pomme- Vendredi : pissenlit et concombre- Samedi : kiwi et céleri-rave- Dimanche : brocoli et mâche

Si vous avez plusieurs cochons d’Inde, pour éviter que l’un ne vole un gros morceau de légume et aille le manger seul dans un coin, vous pouvez couper tout en petits morceaux !

Quelques précautions générales

Les fruits et légumes doivent toujours être distribués lavés, séchés, et à température ambiante, c’est-à-dire pas directement sortis du réfrigérateur. Et bien sûr, on ne donne aucun légume pourri ou pas frais. Quand les fruits et légumes ne sont pas traités, l’idéal est de ne pas les éplucher, car c’est dans la peau que réside une bonne partie des vitamines. Si votre cobaye vient d’une animalerie où il n’a jamais connu la joie des fruits et légumes, il faut l’y habituer très progressivement pour éviter les désordres digestifs.

Les plantes sauvages

Vous pouvez donner des plantes sauvages à votre cochon d’Inde. Mais veillez à les cueillir loin de routes polluées et dans des endroits exempts de pesticides ! Voici celles qui feront le régal de votre compagnon : herbe, cerfeuil, mouron des oiseaux (mouron blanc uniquement), luzerne, pissenlit, plantain, séneçon, arroche, capselle (bourse-àpasteur), renouée…

C’est surtout le pissenlit qui aura beaucoup de succès. Mais attention, il est très riche en calcium et risque de s’accumuler à l’excès. À éviter chez les femelles gestantes et allaitantes !

Marie-Sophie Germain
Journaliste scientifique spécialisée en NAC et auteur de nombreux ouvrages de référence sur les rongeurs
Source : wamiz.com